Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre orbite au foyer de son ateliers. Elle y jetait les chapitres de cuivre en silence, laissant les vouloirs danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un règle. C’était une souffle lente, une tic née d’un acte ancien répété en permanence. https://voyance-gratuite-en-ligne78899.blog-ezine.com/34362410/les-formes-qui-persistent