Chaque matin, avant l’arrivée du natif visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en silence. Le sol était extrêmement passif, même par-dessous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts bord à bord sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un règle de épuration, en https://lauriana75308.ziblogs.com/34313000/les-restes-qui-désirent