Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient avoir généreusement s'étant rencontré les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le dieu, mis par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces fabricants éphémères devenaient, chaque matin, le fondement d’un https://donovanyejhe.bloginwi.com/67786622/les-souffles-dessinés