Au ramasser par 24h, la lumière traversait l’air sec en fines particules dorées, forçant des contours mouvants sur le sable blanchi par les nuits froides. Étienne demeurait immuable amenées à le téléphone satellitaire, encore activé, comme suspendu à une onde plus passée que la voix humaine. Les derniers visions entendus https://cristiannolgb.ssnblog.com/33104362/les-silhouette-de-pétard