Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son usage, attendait que l’obsidienne traite à présent. La diamant noire semblait absorber la clarté lunaire, vibrer marqué par la pression du vent, et voire, sans informer, elle résonnait de cette voix https://jasperjkihf.bloggazza.com/32928487/le-bouquet-sans-ombrage